Après le succès du premier volume, j’aime la Suisse (2015), et j’aime la suisse et ses villages paru en 2018,

    Décembre 2024 

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La Suisse que j’aime :

préfacée par Mr Guy Parmelin conseiller Fédéral, chef du Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche.

Nous sommes heureux que ce nouveau volume « La Suisse que j’aime » ,qui cette fois-ci non seulement est en français mais aussi en allemand et en anglais voit le jour.

L’ajout de nouvelles et magnifiques aquarelles, de nouveaux textes et d’un chapitre sur la Principauté du Liechtenstein.

L’Association des plus beaux villages de Suisse :

Ces dernières années, l’association des plus beaux villages de Suisse s’est beaucoup développée avec l’ajout de nouvelles pépites (villages). Et à partir de 2023, des petites villes historiques, afin de mieux représenter la richesse et la variété des belles localités membres de notre réseau national.
Mais dans un monde globalisé, on ne peut pas aller loin tout seul,

c’est pourquoi l’association des plus beaux villages de Suisse a rejoint la fédération Les plus beaux Villages de la Terre, qui encourage les échanges culturels et la promotion du patrimoine bâti dans le monde.

L’association plus beaux villages de suisse a entamé une coopération avec le réseau des petites villes historiques d’Autriche.
Nos villages et cités historiques sont riches en histoire et en culture.

Elles ont inspiré des peintres et des artistes de toute l’Europe.

Nous sommes sûr que ce livre vous donnera envie de les visiter et de les découvrir par vous-même.

Petit pays mais grand par ses contrastes :

La petite taille géographique de la Suisse et du Liechtenstein est inversement proportionnelle à la diversité des identités et des traditions à l’intérieur de leurs frontières, et ce livre en capture l’esprit.
Nous espérons  vous accueillir bientôt dans l’un de nos villages idylliques ou l’une de nos petites villes historiques.

Nous vous souhaitons beaucoup de plaisir à la lecture en profitant de ces magnifiques aquarelles.

l’Artiste peintre Daniel Lanoux :

Daniel LANOUX, NÉ ARTISTE
Force de travail et de créativité, l’Artiste s’est imposé dans le monde de l’art, en menant de front son métier de plasticien et  publicitaire.
La création comme philosophie de vie.

Daniel livre son regard coloré et synthétique sur ces paysages et ces constructions.

Et cela au travers des 26 Cantons et  de plus de  200 aquarelles originales.

Daniel Lanoux a passé sa vie à imaginer des œuvres et à les réaliser.

Francesco Cerea Historien :

Depuis des siècles, la Confédération attire de nombreux artistes et notamment des aquarellistes qui, fascinés par les pittoresques paysages de montagne et les délicieux villages suisses qui les parsèment, ont toujours été à l’avant-garde des voyages à travers le pays alpin pour en capturer la beauté particulière.

L’histoire de l’aquarelle a connu un développement particulier à partir de la seconde moitié du 18e siècle et tout au long du 19e
siècle, l’ère du romantisme permettant en effet de valoriser ce type d’« art mineur ». Souvent, au XIXe siècle, les gravures étaient aquarellées et accompagnaient ainsi les descriptions des mémoires de voyage, comme dans le cas de la seconde épouse de Napoléon, qui dans son « Mon voyage en Suisse / Août – Septembres 1829 » conservé au Musée Glauco Lombardi de Parme nous a laissé un précieux témoignage de sa sensibilité artistique et littéraire, en commentant son itinéraire en Suisse, elle a montré son amour pour les paysages suisses, immortalisés dans de sublimes descriptions et images aquarellées.
Dès le XVIe siècle, grâce au baron Zurlauben et à ses « Tableaux de la Suisse, ou voyage pittoresque », le goût romantique qui gagnait l’Europe pouvait être insufflé dans les planches gravées, où les paysages sublimes devenaient les protagonistes de la scène, les villages, hameaux et villes devenant un simple corollaire de la nature suisse florissante.

Ce n’est qu’à partir du XIXe siècle que l’aquarelle prend toute sa dignité, devenant souvent l’une des techniques les plus prisées par de nombreux artistes, influencés par l’école anglaise, qui en font l’un de leurs moyens préférés pour représenter les paysages et les scènes naturelles, Il suffit de penser aux vues romantiques de Bellinzone du célèbre William Turner (1775-1851) ou aux aquarelles réalisées lors de ses séjours en Suisse par Edward Lear (1812-1888), qui était également le maître à dessiner de la reine Victoria et très habile à capturer l’essence de chaque paysage, des Alpes à la Méditerranée, qu’il affectionnait également.

Une passion britannique, celle de l’aquarelle, qui caractérise également l’actuel monarque britannique, le roi Charles I, qui, en plus d’être collectionneur et propriétaire de milliers de ces spécimens rassemblés par la Couronne au fil des siècles, est lui-même un auteur talentueux.

L’art de l’aquarelle peut compléter et enrichir l’expérience touristique, en offrant une perspective personnelle des lieux visités.

Les aquarelles capturent la lumière et l’atmosphère des paysages d’une manière qui peut également servir d’inspiration aux futurs visiteurs, en les incitant à explorer et à apprécier la beauté naturelle et culturelle de la Suisse. Il n’existe pas de liste complète et détaillée de tous les aquarellistes étrangers qui ont visité la Suisse, mais comme le montre ce nouveau volume « La Suisse que j’aime », l’intérêt pour cette région reste vif.

Les œuvres de l’artiste Daniel Lanoux ont encore toute la force expressive des anciens grands maîtres, mais avec une main plus fraîche et plus contemporaine qui en fait toujours un médium appréciable pour les générations actuelles et futures, car il met en valeur non seulement la beauté traditionnelle des paysages suisses, mais surtout le charme des nombreux villages, hameaux et villes historiques de la Suisse.
Francesco Cerea
Historien